PAUVRE MORTEL
Ces sourires mesquins,
Qui vous poignardent dans le dos,
Dés que la lame transperce votre cœur,
Les rires ressurgissent à la vue de votre sang,
Coulé le long de votre corps,
Et vous regardent mourir.
En attendant votre dernier souffle
Pour laisser une larme de joie.
Pauvre mortel que je suis,
Quel est le prix de ma vie ?
Quelle est la valeur de mon sang ?
Pauvre pantin,
Je ne suis qu’une marionnette,
Qu’on manipule
28/04/08.
écrit par Christian Rabussier
tous droits réservés
2010