Après un bon repas, autour d'amis sympas.
La chaleur de l'été, commençait à chauffer.
Le soleil brûlait et grillait l'herbe.
Nous étions sur le bord de la piscine.
Nos corps luisant, embaumés d'huile,
Se reposaient, dans les bras de morphée.
Les caresses du vent, sur ma l'eau frissonnant.
M'aide à évader mon âme, de sa cage dorée.
Elle contemple ce doux spectacle, et suis le vent.
Qui tourbillonne sur ces corps dénudés.
Faisant bouger les arbres qu'elle hape,
Jusqu'au racines, quitte à faire jaillir la sève.
Je me mis soudain à bander, soulevant mon slip,
Laissant en l'air libre mon pénis.
Une main soudain s'y accroche.
Je ne peux pas l'empêcher, s'empare de mon arme.
Son corps l'engloutit, et le fait disparaître.
Magicien, elle sort soudain de l'obscurité.
Mais un cri de jouissance,
Soudain me réveilla.
Laissant mon sexe dure et juteux.
Seul à l'abandon.
Oubliant cet instant.
Une parenthèse dans ma vie intime.
Christian rabussier
12-04-2018