ô ennemis mortels
Vous nous avez pénétré, violé notre corps de croquant.
Funestes vermines, pourritures macabres.
Vous microbes récalcitrants, virus insolent.
Gènes indignes, cancer et autres misères.
Vous vous appropriez de nos corps,
Afin de nous transformer en charogne vivante.
Votre poison décompose lentement nos entrailles.
Et silencieusement, il s’installe, il se propage.
Dans cet instant opportun, votre vie chavire dans le néant.
Le temps vous paraît éternel, alors que votre vie se consume
Comme un feu de paille.
Après avoir épuisé vos dernières forces, vous nous volez,
Notre jeunesse, nos espoirs, et semez le doute.
L’avenir se conjugue désormais au présent.
Vous nous torturez, avec votre infâme douleur.
Votre souffrance est telle, que notre corps appelle
Vous nous avez pénétré, violé notre corps de croquant.
Funestes vermines, pourritures macabres.
Vous microbes récalcitrants, virus insolent.
Gènes indignes, cancer et autres misères.
Vous vous appropriez de nos corps,
Afin de nous transformer en charogne vivante.
Votre poison décompose lentement nos entrailles.
Et silencieusement, il s’installe, il se propage.
Dans cet instant opportun, votre vie chavire dans le néant.
Le temps vous paraît éternel, alors que votre vie se consume
Comme un feu de paille.
Après avoir épuisé vos dernières forces, vous nous volez,
Notre jeunesse, nos espoirs, et semez le doute.
L’avenir se conjugue désormais au présent.
Vous nous torturez, avec votre infâme douleur.
Votre souffrance est telle, que notre corps appelle
Vous nous avez pénétré, violé notre corps de croquant.
Funestes vermines, pourritures macabres.
Vous microbes récalcitrants, virus insolent.
Gènes indignes, cancer et autres misères.
Vous vous appropriez de nos corps,
Afin de nous transformer en charogne vivante.
Votre poison décompose lentement nos entrailles.
Et silencieusement, il s’installe, il se propage.
Dans cet instant opportun, votre vie chavire dans le néant.
Le temps vous paraît éternel, alors que votre vie se consume
Comme un feu de paille.
Après avoir épuisé vos dernières forces, vous nous volez,
Notre jeunesse, nos espoirs, et semez le doute.
L’avenir se conjugue désormais au présent.
Vous nous torturez, avec votre infâme douleur.
Votre souffrance est telle, que notre corps appelle
Et si par chance, vous en sortez vivant.
Les blessures qu’elles laissent sont si profondes,
Les plaies, demandent du temps à se cicatriser.
Pour tout commun mortel, tout croquant innocent.
La vie perd sons sens, sa monotonie nous a fait oublier
Combien le temps est précieux.
Savoir paresser, rêver, s’oublier. Savoir écouter son corps.
Alors pourquoi attendre que cette vermine nous ravage,
Pour comprendre l’importance de la vie.
26-02-09
Extrait du recueil "un homme fragile"
écrit par christian rabussier
Tous droits réservés.
Extrait du recueil "un homme fragile"
écrit par christian rabussier
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Extrait du recueil "un homme fragile"
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Extrait du recueil "un homme fragile"
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